Nom : Fruits Basket

Cible éditoriale : Shojo

Genres : comédie, amour & Amitié , school Life , fantaisie

Épisodes : 26

Tomes : 23 [Terminé]










Synopsis :

Tohru Honda  vient de perdre sa mère le mois dernier. Normalement la jeune fille devait habiter chez ses grands-parents, mais ces derniers rénovent leur maison à cet instant. L’adolescente tout sourire va décider de vivre en pleine nature afin de ne déranger personne. Personne ne remarque son ménage jusqu’à ce qu’un glissement de terrain balaye son campement de fortune planté dans le domaine des Sôma. Ce terrain n’est pas totalement vide d’habitants car la maison de Shigure y est, ainsi que deux de ses cousins Yuki et Kyo. C’est ainsi que Tohru découvre la maison des Sôma, un peu chamboulée par la perte de son abri, elle accepte de vivre chez eux et s’en suit ensuite des situations assez cocasses et drôles mais aussi une surprise de taille ; certains membres de la famille Sôma se transforment en animaux !

Critique :

L’animé : Il casse pas trois pattes à canard, mais les musiques sont vraiment douces et bien choisies. L’animation est un peu grossière sans pour autant être tout à fait déplaisante. Ce que j’apprécie encore moins c’est qu’il modifie la trame originelle pour en faire n’importe quoi et qui n’a aucun sens. Kagura est folle mais c’est abusé dans l’anime. Et la fin de l’anime n’a rien a voir avec celle du manga, elle est même assez dégueulasse et redescend l’héroïne au rang de petite fille effrayée.

Le Manga : Le dessin est typé Shojo, le découpage est excellent, les dialogues peuvent s’avérer parfois drôles, triste ou encore plein de sens. Natsuki Takaya a vraiment un bon coup de plume. Les paysages sont beaux, les animaux maudits sont à la fois attachants et mignons. Bien que ça soit un Shojo, la romance met un temps à s’installer sans que cela ne soit agaçant. On ne sait que tardivement le couple canon de la série.

Que ça soit le Trio que forme Shigure, Ayame et Hatori, le trio Tohru, Kyo et Yuki est fort mis en avant créant ainsi un triangle amoureux des plus classiques, bien que Tohru prend des tomes et des tomes pour remarquer un truc, naïve notre héroïne fera bouger les mécanismes de la malédiction de part son innocence.

Pour résumer, c’est un shojo que je conseille plus à lire qu’à regarder, bien que certaines scènes sont vraiment drôles. On prend le temps de s’attacher aux personnages au fil des pages. Entre pleurs et rires.

Ruru

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