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The Promised neverland, un manga double face

Emma est une jeune orpheline de 11 ans, elle a toujours vécu dans cet orphelinat (Grace field house) dirigé par celle que tous les enfants appelle maman. Ils sont heureux, ils ont de quoi manger, de quoi dormir, on leur inculque de bonnes manières et une éducation rigoureuse. Emma fait partie des plus âgés de l’orphelinat ainsi que Ray et Norman. Ils découvriront l’abominable réalité se cachant derrière cette façade pleine d’amour et de compassion, l’orphelinat n’a que pour but de préparer de la viande pour des démons, c’est un garde manger !

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Onirisme, quand tu nous fais rêver.

Souvent utilisé par quelques spécialistes ou passionnés de mangas, de littérature ou encore de film pour définir certains types d’œuvre, l’onirisme est un concept qui peut paraître assez flou. En effet si le terme évoque un rapprochement à de la rêverie ou du rêve, comment peut-il être utilisé dans nos mangas préférés ?

Ma vie dans les bois, le retour aux sources d’un mangaka urbain

Shin Morimura est un mangaka qui vit dans une grande ville japonaise. Il fait ce métier depuis trente ans et arrivant au bout d’une série fleuve, il doute sur ses capacités et est en manque d’inspiration lorsque son éditeur lui demande de trouver une idée originale pour son prochain manga. Las de la vie citadine il décide d’acheter une parcelle de terrain à la montagne et d’y vivre. Le seul hic c’est qu’il veut tout construire à la force de ses mains.

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Top 10 des Poissons dans les Animes

Animal indispensable à l’ambiance d’un bon repas, le poisson a depuis longtemps gagné ses galons dans les sushis. Cependant ils peuvent également être une source de bonheur par leurs présences frétillantes, leurs énergies commutatives et leurs capacités à nous transporter dans les mers airs. Voici un top 10 indiscutable des poissons dans les animes.

FIBD 2018, faites place au manga

En cette année 2018, une certaine prise de conscience du grand public voit le jour, le manga peut avoir un attrait culturel. Rien de nouveau pour les passionnés que nous sommes, mais grâce à la direction du FIBD, notamment dans les choix des invités ou des expositions proposées, le grand public a pu découvrir le travail si souvent resté dans l’ombre d’artistes tels que Osamu Tezuka (rien que ça) et Naoki Urasawa, sans oublier Hiro Mashima.